Tutoriel 7: La pandémie de cancer – calamité, dommages collatéral, peccadille ou crime capital?

Le mur du silence

Les toxines tuent dans chaque famille.
Une personne sur deux est ou sera atteinte d un cancer.
C’est la preuve scientifiquement incontestable que les valeurs limites et l’exposition aux toxines sont bien trop élevées.
Cependant, les autorités ne basent les valeurs limites pas sur le taux de mortalité:
Les maladies de la civilisation ne sont ni des calamités, ni des cas de force majeure Et ni des dommages collatéraux inévitables qu’il faut accepter, parce qu’ils sont définis comme des maladies de vieillesse.

Killing fields: Les structures de l’irresponsabilité

Le Conseil fédéral rejette les initiatives contre les pesticides, estimant que la protection de la santé publique ne peut pas être ordonnée au détriment de l’industrie chimique. Selon le gouvernement cet empoisonnement général institutionnalisé est une peccadille. Comme les stationnements incorrects, qui ceux-ci au moins risques des amendes.
La non-assistance à personnes en danger est une infraction punissable dans la circulation routière. Les mettant délibérément en danger l’est encore plus.
Les poisons ne sont pas indispensables. Bien que les gouvernements nous suggèrent qu’ils sont vitaux, ou du moins bien plus importants que la vie et la santé de la population. Ils simulent des contraintes fictives pour autoriser des substances toxiques, qui enclenchent des maladies de civilisations tuant environ la moitié de la population.
Le cancer n’est pas une pandémie? Parce que ce mot est d’origine grecque, et désigne une maladie qui affecte « le peuple (demos) tout entier (pan) » et qu’à cette époque-la, c’était encore interdit d’empoisonner le peuple.

Bronco, Fluxapyroxad est probablement cancerogene (ECHA, European Chemical Agency)

La banalité du mal

Une personne sur deux sur cette planète a peur de la famine, et une personne sur deux a ou aura peur de son cancer–et ce bilan légitime le leadership agricole de l’industrie chimique? Elle mérite bien ce rôle car elle est la seule a savoir développer de nouveau pesticide toxiques pour chaque pesticide interdit?

Ce n’est pas l’industrie des pesticides qui est responsable de l’étendue dévastatrice des maladies de la civilisation, car l’empoisonnement général empêche d’attribuer l’origine des dégâts ?
 « Pas nous, mais les autres aussi ? »

On ne peut interdire les pesticides car d’autres poisons nuisent également à la santé, il faudrait donc interdire tous les poisons !?
Une idée excellente.
Les substances cancérogènes ou suspectées de l’être doivent faire l’objet d’une autorisation, qui devrait être accordée que si « les bénéfices socio-économiques l’emportent sur les risques pour l’homme et l’environnement et s’il n’existe pas de substances ou de technologies alternatives appropriées ». Ces directives de l’OMS devraient s’appliquer à tous les poisons. Ce serait également la thérapie la plus efficace et la moins chère contre les maladies de la civilisation : Cesser d’empoisonner les gens.

Le business du risque
La fin de l’ère de la chimie et sa stratégie de mise en danger n’est pas en vue.
Bien que certains des pesticides les plus toxiques perdent leur approbation, ils sont immédiatement remplacés par d’autres. Qui après de nombreuses années d’engagement des ONG perdront leur approbation, une stratégie paralysant les forces idéalistes.
La protection de la santé publique n’a jamais été un objectif de l’OFAG. Les ministères de l’agriculture s’opposent même à toute définition d’écologie qui signifie qu’ils devraient cesser de mettre en danger la population avec leurs pesticides. Malgré le revirement écologique de l’agriculture ordonné par le parlement à la fin du millénaire, les quantités de pesticides utilisées ne sont pas considérées comme un indicateur du progrès écologique.
Au lieu de cela, l’OFAG se vante des engagements d’autrui, d’une légère diminution des quantités de pesticides, grâce au abandon du glyphosate dans des secteurs non-agricoles.

Les stratégies professionnelles de dissimulation

La science a pu imprimer des étiquettes d’avertissement sur les emballages des pesticides, mais pas sur les aliments pour lesquels ils sont achetés. Les autorités agricoles et leurs lobbyistes dissimulent le lien de causalité entre les pesticides et les décès massifs par une série de machinations scandaleuses :
La responsabilité de la non-toxicité des aliments est assurée par… l’Office du bétail, ou l’Administration fédérale de la sécurité alimentaire et des services vétérinaires. Il est inutile d’essayer de dissimuler cet aveu du mépris de la population.
L’Office fédéral de la santé publique n’a pas le droit d’intervenir dans les risques sanitaires causés par les pesticides, même si ceux-ci contribuent à la majorité des maladies.
En conséquence, plus la contamination toxique est élevée, plus les contrôles sont rudimentaires : Ainsi il n’y a pas de tests de résidus prévus pour la viande, bien que les poisons s’accumulent au cours de la chaîne alimentaire.

Des tomates sur les yeux

Sur les yeux de la jeune fille, sur les sacs en plastique d’une entreprise de pesticides allemande, se trouvent… des tomates. Ils peuvent se le permettre, c’est ce qu’ils pensent des consommateurs. En allemand « des tomates sur les yeux » signifie une nativité excessive.
Environ un kilo de pesticides est utilisé par personne et par an. (Une grande partie à l’étranger pour la production de viande).
Ceci est malade. Ceci rend malade. Sur ce 1 kg de pesticides à la puissance de l’arsenic ou du cyanure, plus de 99 % ne devraient pas se retrouver dans les aliments, car ce serait mortel.

« Chimio » ou bio ?

Une interdiction des pesticides est trop coûteuse ?
 « Cancer et Cie sont un risque, que nous pouvons nous épargner. »
Sans pesticides, la nourriture serait trop chère? Dans le passé, nous pouvions encore nous permettre une alimentation saine? Mais plus maintenant, nous vivons dans la civilisation la plus riche qui ait jamais existée, et nous ne pouvons pas nous permettre le luxe de la santé? Nous avons d’autres priorités, comme des primes d’assurance maladie de plus en plus exorbitantes.
Les financiers du secteur alimentaire sont les consommateurs. Si les personnes qui peuvent se le permettre, achètent des aliments bio une alimentation saine devient abordable pour tous. Le bio est principalement plus cher parce que les quantités commercialisées sont plus petites, la production elle-même peut même couter moins chères. (->tutoriel 6)

Le contrôle de la peur

La politique économique définit ce dont nous pouvons avoir peur : Des dangers naturels, mais pas des dangers industriels, bien plus dévastateurs.

Pour protéger la santé de la population, elle ordonné l’enferme de milliards d’innocents à des mois d’assignation à résidence, même les enfants sont traités comme des criminels condamnés.

Fermer les industries du poison qui tuent une personne sur deux serait bien plus efficace, juste et bon marché. Les industries de pesticides et pharmaceutiques savent se procurer un mur de silence écrasant.

Une bulle d’investissement toxique

Les preuves scientifiques des effets protecteurs des pesticides sont incorrectes ou manquantes. Le gaspillage alimentaire est bien supérieur à la différence entre bio et conventionnel. Les industries des pesticides ne peuvent légitimer ni leur utilité, ni leur nécessité, ni leur raison d’être. Et encore moins leur leadership agricole.
Se sont des imposteurs qui utilisent l’agriculture comme substrat pour ses poisons inutiles mais très lucratifs pour ses départements pharmaceutiques.
Avec l’évocation de fausses prémisses, de contraintes fictives, d’extrapolations inadmissibles et d’un manque de transparence, les ministères de l’agriculture continuent à optimiser les problèmes agricoles et les ventes de pesticides, les maladies de civilisation et  les ventes de produits pharmaceutiques.

Un pacte mortel

La politique économique définit ce dont nous pouvons avoir peur : Des dangers naturels, mais pas des dangers industriels, bien plus dévastateurs.
Pour protéger la santé de la population, elle ordonné l’enferme de milliards d’innocents à des mois d’assignation à résidence, même les enfants sont traités comme des criminels condamnés.

Fermer les industries du poison qui tuent une personne sur deux serait bien plus efficace, juste et bon marché. Les industries savent se procurer un mur de silence écrasant. Les ministères se portent garants, en toute connaissance de cause, d’une augmentation lucrative des dangers industriels : L’empoisonnement général et l’effondrement du climat.