Plan AAA: L’assainissement du climat

Sauver le climat serait facilement possible. Pourquoi personne ne le sait ?
Les légendes urbaines ont presque réussi à établir un esprit d’impuissance afin d’affaiblir l’espérance: « Le changement climatique est irréversible ».
Mais d’un point de vue purement scientifique, la restauration complète du climat peut être réalisée sans aucun problème : La teneur en CO2 de l’air peut être réduite à un niveau presque préindustriel en 40 ans.

Renouvelable au lieu de fossile
La moitié des énergies fossiles sera remplacée par des énergies renouvelables, cela permettrait d’économiser 4 Gt C/an (= 4 gigatonnes de carbone par an),
L’énergie solaire serait moins chère que l’énergie fossile si les habitants des pays industrialisés couvraient leurs besoins énergétiques avec une combinaison d’énergie solaire, éolienne et hydraulique. La quantité d’énergie disponible est au moins 10 fois plus haut que la consommation actuelle. Des technologies solaires efficaces et peu coûteuses profiteraient à plus de 4 milliards de personnes dans les régions tropicales et subtropicales dont les besoins énergétiques peuvent être entièrement satisfaits par l’énergie solaire.

Interdiction globale de la destruction des forêts
16 millions d’hectares de forêt sont détruits chaque année, pour la plupart des forêts tropicales humides qui contiennent 500 tonnes de carbone par hectare. Une interdiction mondiale de la destruction des forêts permettrait d’économiser plus de 7 Gt C/an. (Une utilisation durable des forêts ou leur conversion en agroforesterie serait toujours possible.

Moins de viande
Une quantité saine de viande: Une conversion d’un dixième des surfaces fourragères mondiales en forêts ou en agroforesteries absorberait 4 Gt C/an. (Superficie mondiale de pâturage et fourrage t : 4 milliards d’hectares, mais une nouvelle forêt ne commence à absorber 10 tonnes de carbone par hectare et année qu’après 10 ans. La différence de carbone entre pâturage et la forêt secondaire/agroforesterie est de 250 tonnes par hectare, après 35 ans 10 tonnes de bois par an et l’hectare peuvent être extrait pour une énergie neutre en CO2 ou comme matériau de construction).

Plan AAA
S’il faut huit ans pour mettre en œuvre ces solutions « tripleA », alors en 40 ans, en 2060, le CO2 serait tombé à un niveau presque préindustriel :
– Plus que la moitié de l’énergie fossile: 160 Gt C de réduction
– Pas de destruction des forêts : 120 Gt C de réduction
– Un dixième de tous les pâturages forestiers : 40 Gt C de réduction
En 2050, la quantité de carbone dans l’air aurait diminué de 320 Gt, le réchauffement de la planète serait de l’histoire ancienne.
(L’atmosphère contient actuellement 860 gigatonnes de carbone, il y a 250 ans c’était 250 gigatonnes de moins, l’augmentation annuelle actuelle de 5 gigatonnes est spectaculaire. En 10 000 ans, de l’âge de pierre à l’industrialisation, l’augmentation totale du CO2 a atteint à peine 100 gigatonnes. Base de calcul : IPCC Climate Change 2013 : The Physical Science Basis)

S’il n’y a pas de volonté, il n’y a pas de moyen: Ces calculs montrent que l’économie et la politique poursuivent malheureusement d’autres objectifs que la protection du climat et de l’humanité.
Ces méthodes coûtent moins cher que les fonds de sauvetage pour les banques, ou le fameux voyage vers Mars, sans parler des budgets d’armement.

Un piège ne fonctionne que si nous ne voyons pas les sorties.

 (1 Gt C = 3.67 Gt CO2 = 3.67 milliards de tonnes de CO2)

Tutoriel 8 La prise de contrôle de l’espoir par le « conflit d’intérêt ».

Le sabotage du dernier kilomètre
Avec tout ces flux financiers pour une industrie agricole superflue, on aurait pu financer un paradis sur terre pour tous.
Mais les créateurs de problèmes ont toujours réussi à se faire confier le rôle de leader dans la lutte contre leurs propres stratégies commerciales lucratives.
À la fin du siècle dernier, les populations et parlements de nombreux pays ont opté pour un revirement éco-agricole. Ce qui menaçait les ventes de l’industrie des pesticides et même leur existence. Elles refusèrent de se convertir, au lieu de déposer gentiment la faillite, elles investirent dans le népotisme. Les ministères de l’agriculture, soumis à ce lobbying massif, utilisèrent leur leadership écolo et bio pour des stratégies discrets mais hyper-efficaces de sabotage de l’écologie.

Le rollback industriel

Le ministère de l’Agriculture suisse essaya de consolider une liquidation discrète de l’écologie: «Le principe de compensation économique de la performance écologique sera abandonné» car «la confrontation actuelle entre l’environnement et l’économie doit être résolue ». (Document interne du ministère)
Un revirement agricole? Quel revirement? Depuis l’introduction de la IP et de ses exigences écologiques, les quantités de pesticides et les maladies de civilisation n’ont pas diminuées.
Les ministères de l’agriculture n’ont que su réduire les exigences écologiques: Ils se sont surtout engagés à la non-application de toutes les réglementations qui imposeraient une réduction des quantités de pesticides. Son renoncement stricte de toute vérification des seuils de dommages est un sabotage délibéré et fatal de cet instrument centrale capable de baisser une contamination des aliments. Le ministère de l’Agriculture viole délibérément et probablement illégalement son devoir de surveillance.
Au lieu de contrôler le respect des exigences des paiements directs et de ses propres lois qui sont censé de protéger la santé publique, il confie la vente de milliers de tonnes de toxines mortelles aux recommandations suggestives de l’industrie de pesticides.
Avec ce clientélisme, le ministère de l’Agriculture se fait co-responsable des maladies mortelles d’empoisonnement qui touchent la moitié de la population. L’industrie agricole anéantit tous les succès et lois écologiques durement acquis par les idéalistes, avant même qu’ils ne prouvent qu’une vie sans pesticides est tout à fait possible.
Les meilleures lois ne sont d’aucune utilité si les autorités ont « un droit » de les saboter.

La stratégie clé: Le « conflit d’intérêts »

Le lobbying est la légalisation de la corruption et son institutionnalisation.
Un laissez-faire pour les industries toxiques, garanti par le gouvernement. Et de son déclassement de la recherche agricole de l’État en une agence publicitaire des pesticides. Dorénavant sa compétence est la déformation des faits et la prétention de contraintes fictives à base de manipulations méthodologiques scientifiquement interdites.
Et la conception d’instructions agricoles néfastes engendrant un maximum de problèmes qui prouvent que la nature serait dangereuse et destructive, permettant ainsi une optimisation des ventes de pesticides, décorée d’un Greenwash écolo.


Un renforcement des instruments de protection

Un piège ne fonctionne que si nous ne voyons pas les voies d’issues. Et les alliés.
Toute enquête sur les «conflits d’intérêts» au sein des autorités est normalement taboue, une garantie que intoxication de la population et la déstabilisation du climat vont s’aggraver.
La corruption prospère dans l’obscurité, et dépérit sous les projecteurs des médias.
La science et la justice sont les instruments de la vérité. Et les talons d’Achille du clientelisme : Car les violations manifestes de la loi permettent un empowerment et une restitution du pouvoir de ces instances de protection.
Le précédent idéal sont les paiements pour une « protection de ressources » scientifiquement inexistante et donc frauduleux du semis direct au glyphosate avec ses quantités record de pesticides cancérigènes.
L’économie utilise la science comme agence publicitaire, mais cet instrument ne se prête pas vraiment aux manipulations frauduleuses, car elle est top bien capable de les prouver.
Les supercheries sont des patchworks délabrés : Le népotisme, plus il est intouchable, plus il se fiche du contrôle et de la coordination de ses équipes, et s’empêtre de plus en plus profondément dans son tissue de mensonges et de tromperies.

La prise de contrôle ennemi de l’espoir

Dans les systèmes si complexes que l’agriculture, la bonne volonté seule ne suffit pas pour une gérance optimale: L’amour du violon ne suffit pas à savoir les jouer, d’autant plus si c’est toujours celui-ci qui serait responsable des discordances.
Le lobbying agricole utilise le manque de connaissances spécifiques des idéalistes pour ses stratégies d’escalade: Risques augmentés des sécheresses – guerre de l’eau ! Au lieu utiliser les résidus agricoles : Le paillis empêche l’évaporation, sauve les récoltes et il sert d’engrais gratuit.
Mais la biotechnologie promet de développer des variétés adaptés au changement climatique? A quoi bon ? Il suffit d’acheter des graines dans les région voisine plus sèches ou plus chaudes. Le changement climatique ne crée pas de températures et précipitations »innovantes » il les déplace uniquement.
Politique et industrie agricole ne propose que des solutions absurdes.
Il est bien temps que les fictions industrielles et ses contes de fées urbains soient remplaces par des faits

Tutoriel 7: La pandémie de cancer – calamité, dommages collatéral, peccadille ou crime capital?

Le mur du silence

Les toxines tuent dans chaque famille.
Une personne sur deux est ou sera atteinte d un cancer.
C’est la preuve scientifiquement incontestable que les valeurs limites et l’exposition aux toxines sont bien trop élevées.
Cependant, les autorités ne basent les valeurs limites pas sur le taux de mortalité:
Les maladies de la civilisation ne sont ni des calamités, ni des cas de force majeure Et ni des dommages collatéraux inévitables qu’il faut accepter, parce qu’ils sont définis comme des maladies de vieillesse.

Killing fields: Les structures de l’irresponsabilité

Le Conseil fédéral rejette les initiatives contre les pesticides, estimant que la protection de la santé publique ne peut pas être ordonnée au détriment de l’industrie chimique. Selon le gouvernement cet empoisonnement général institutionnalisé est une peccadille. Comme les stationnements incorrects, qui ceux-ci au moins risques des amendes.
La non-assistance à personnes en danger est une infraction punissable dans la circulation routière. Les mettant délibérément en danger l’est encore plus.
Les poisons ne sont pas indispensables. Bien que les gouvernements nous suggèrent qu’ils sont vitaux, ou du moins bien plus importants que la vie et la santé de la population. Ils simulent des contraintes fictives pour autoriser des substances toxiques, qui enclenchent des maladies de civilisations tuant environ la moitié de la population.
Le cancer n’est pas une pandémie? Parce que ce mot est d’origine grecque, et désigne une maladie qui affecte « le peuple (demos) tout entier (pan) » et qu’à cette époque-la, c’était encore interdit d’empoisonner le peuple.

Bronco, Fluxapyroxad est probablement cancerogene (ECHA, European Chemical Agency)

La banalité du mal

Une personne sur deux sur cette planète a peur de la famine, et une personne sur deux a ou aura peur de son cancer–et ce bilan légitime le leadership agricole de l’industrie chimique? Elle mérite bien ce rôle car elle est la seule a savoir développer de nouveau pesticide toxiques pour chaque pesticide interdit?

Ce n’est pas l’industrie des pesticides qui est responsable de l’étendue dévastatrice des maladies de la civilisation, car l’empoisonnement général empêche d’attribuer l’origine des dégâts ?
 « Pas nous, mais les autres aussi ? »

On ne peut interdire les pesticides car d’autres poisons nuisent également à la santé, il faudrait donc interdire tous les poisons !?
Une idée excellente.
Les substances cancérogènes ou suspectées de l’être doivent faire l’objet d’une autorisation, qui devrait être accordée que si « les bénéfices socio-économiques l’emportent sur les risques pour l’homme et l’environnement et s’il n’existe pas de substances ou de technologies alternatives appropriées ». Ces directives de l’OMS devraient s’appliquer à tous les poisons. Ce serait également la thérapie la plus efficace et la moins chère contre les maladies de la civilisation : Cesser d’empoisonner les gens.

Le business du risque
La fin de l’ère de la chimie et sa stratégie de mise en danger n’est pas en vue.
Bien que certains des pesticides les plus toxiques perdent leur approbation, ils sont immédiatement remplacés par d’autres. Qui après de nombreuses années d’engagement des ONG perdront leur approbation, une stratégie paralysant les forces idéalistes.
La protection de la santé publique n’a jamais été un objectif de l’OFAG. Les ministères de l’agriculture s’opposent même à toute définition d’écologie qui signifie qu’ils devraient cesser de mettre en danger la population avec leurs pesticides. Malgré le revirement écologique de l’agriculture ordonné par le parlement à la fin du millénaire, les quantités de pesticides utilisées ne sont pas considérées comme un indicateur du progrès écologique.
Au lieu de cela, l’OFAG se vante des engagements d’autrui, d’une légère diminution des quantités de pesticides, grâce au abandon du glyphosate dans des secteurs non-agricoles.

Les stratégies professionnelles de dissimulation

La science a pu imprimer des étiquettes d’avertissement sur les emballages des pesticides, mais pas sur les aliments pour lesquels ils sont achetés. Les autorités agricoles et leurs lobbyistes dissimulent le lien de causalité entre les pesticides et les décès massifs par une série de machinations scandaleuses :
La responsabilité de la non-toxicité des aliments est assurée par… l’Office du bétail, ou l’Administration fédérale de la sécurité alimentaire et des services vétérinaires. Il est inutile d’essayer de dissimuler cet aveu du mépris de la population.
L’Office fédéral de la santé publique n’a pas le droit d’intervenir dans les risques sanitaires causés par les pesticides, même si ceux-ci contribuent à la majorité des maladies.
En conséquence, plus la contamination toxique est élevée, plus les contrôles sont rudimentaires : Ainsi il n’y a pas de tests de résidus prévus pour la viande, bien que les poisons s’accumulent au cours de la chaîne alimentaire.

Des tomates sur les yeux

Sur les yeux de la jeune fille, sur les sacs en plastique d’une entreprise de pesticides allemande, se trouvent… des tomates. Ils peuvent se le permettre, c’est ce qu’ils pensent des consommateurs. En allemand « des tomates sur les yeux » signifie une nativité excessive.
Environ un kilo de pesticides est utilisé par personne et par an. (Une grande partie à l’étranger pour la production de viande).
Ceci est malade. Ceci rend malade. Sur ce 1 kg de pesticides à la puissance de l’arsenic ou du cyanure, plus de 99 % ne devraient pas se retrouver dans les aliments, car ce serait mortel.

« Chimio » ou bio ?

Une interdiction des pesticides est trop coûteuse ?
 « Cancer et Cie sont un risque, que nous pouvons nous épargner. »
Sans pesticides, la nourriture serait trop chère? Dans le passé, nous pouvions encore nous permettre une alimentation saine? Mais plus maintenant, nous vivons dans la civilisation la plus riche qui ait jamais existée, et nous ne pouvons pas nous permettre le luxe de la santé? Nous avons d’autres priorités, comme des primes d’assurance maladie de plus en plus exorbitantes.
Les financiers du secteur alimentaire sont les consommateurs. Si les personnes qui peuvent se le permettre, achètent des aliments bio une alimentation saine devient abordable pour tous. Le bio est principalement plus cher parce que les quantités commercialisées sont plus petites, la production elle-même peut même couter moins chères. (->tutoriel 6)

Le contrôle de la peur

La politique économique définit ce dont nous pouvons avoir peur : Des dangers naturels, mais pas des dangers industriels, bien plus dévastateurs.

Pour protéger la santé de la population, elle ordonné l’enferme de milliards d’innocents à des mois d’assignation à résidence, même les enfants sont traités comme des criminels condamnés.

Fermer les industries du poison qui tuent une personne sur deux serait bien plus efficace, juste et bon marché. Les industries de pesticides et pharmaceutiques savent se procurer un mur de silence écrasant.

Une bulle d’investissement toxique

Les preuves scientifiques des effets protecteurs des pesticides sont incorrectes ou manquantes. Le gaspillage alimentaire est bien supérieur à la différence entre bio et conventionnel. Les industries des pesticides ne peuvent légitimer ni leur utilité, ni leur nécessité, ni leur raison d’être. Et encore moins leur leadership agricole.
Se sont des imposteurs qui utilisent l’agriculture comme substrat pour ses poisons inutiles mais très lucratifs pour ses départements pharmaceutiques.
Avec l’évocation de fausses prémisses, de contraintes fictives, d’extrapolations inadmissibles et d’un manque de transparence, les ministères de l’agriculture continuent à optimiser les problèmes agricoles et les ventes de pesticides, les maladies de civilisation et  les ventes de produits pharmaceutiques.

Un pacte mortel

La politique économique définit ce dont nous pouvons avoir peur : Des dangers naturels, mais pas des dangers industriels, bien plus dévastateurs.
Pour protéger la santé de la population, elle ordonné l’enferme de milliards d’innocents à des mois d’assignation à résidence, même les enfants sont traités comme des criminels condamnés.

Fermer les industries du poison qui tuent une personne sur deux serait bien plus efficace, juste et bon marché. Les industries savent se procurer un mur de silence écrasant. Les ministères se portent garants, en toute connaissance de cause, d’une augmentation lucrative des dangers industriels : L’empoisonnement général et l’effondrement du climat.

Tutoriel 6: Bio et moine chers qu‘industriel

L’expertise agricole

Les problèmes sont résolus par le savoir-faire.
Le know-how est l’investissement le plus rentable, surtout en agriculture.
Les dégâts agricoles sont causés par une nature dangereuse et des agriculteurs maladroits ?
La nature n’est jamais le problème, la nature est le système : Les avions qui ne respectent pas les lois de la nature ne volent pas.
L’ampleur des problèmes ne reflété que l’étendue de l’incompétence, ­ ou de la tromperie.
Dans l’économie, seul le meilleur compte, les échecs sont éliminés. La politique agricole fait l’inverse, elle confie la production de notre aliments au savoir-faire de l’expert scientifique compétent: L’industrie des poisons.

L’écologie le mode d’emploi de la nature
Cependant, l’expert scientifique de la gérance des systèmes vivants (de production) est l’écologie. La politique agricole la disqualifie comme un facteur de coût gênant, mais ce n’est que le cas si le critère décisif de réussite manque : Le savoir-faire.
Le tour de force du lobbying industriel est la perception déformée de la performance réelle des systèmes agricoles : Les meilleures méthodes d’agriculture biologique produisent autant, plus rentable ou même moins chère que les méthodes industrielles, elles permettent une transition élégante vers le bio.
Le transfert de connaissances de ces méthodes n’a jamais eu lieu, il a été contrecarré par le dogme industriel selon lequel le respect des lois de la nature n’était pas rentable, ne serait-ce que dans le secteur agricole.
Le bio est un marché en expansion. Si les pesticides étaient supprimés à l’échelle nationale, l’agriculture suisse pourrait s’imposer comme un leader mondial du bio et comme une lueur d’espoir.

Les contrôles anciens des mauvaises herbes
Le seul véritable problème de l’agriculture est la suppression d’un concurrent très fort et tenace : les plantes sauvages.
Le savoir-faire minimise la charge de travail, il y a 6000 ans, une méthode a été mise au point, qui produit encore aujourd’hui (bio et) moins cher qu’industrielle: Les fruits de l’agroforesterie tropicale ne sont que récoltés et commercialisés, contrairement aux plantations industrielles, ils ne nécessitent aucun soin, les plantes sauvages dépérissent à l’ombre des arbres, la biodiversité élimine les parasites potentiels.
Dans le passé, sans les machines, les gens devaient encore utiliser leur cerveau: Le chef d’œuvre des paysans malins est le riz, bien que son ingéniosité n’est plus appréciée : Les barrages ne sont pas construits parce que le riz a besoin de tant d’humidité, le riz de montagne est cultivé avec succès sur des pentes. Le concept agricole fonctionne à l’inverse : Le riz survit dans l’eau stagnante, mais la concurrence sauvage est noyée    un désherbage d’une élégance inégalée.
Il n’existe que quelques systèmes agricoles dans le monde qui s’intègrent si parfaitement dans les processus naturels de façon que la nature fasse l’essentiel du travail.

Le « ms rustique »
Les machines modernes permettent la méthode la plus rentable au monde pour le maïs, elle est bio et ne nécessite qu’un minimum de travail. Et, à différence de la Milpa, son prédécesseur antique, la culture maïs-haricot-citrouille, de même bio et zéro-travail, elle est adaptée aux machines.
L’astuce est simple : Bien sûr, ce n’est pas le maïs qui est « rustique », mais sa partenaire, la vesce rustique ou hirsute, un engrais vert commercial.
Au printemps, en début de floraison des vesces, le semoir fore le maïs, puis les fleurs sont fauchées pour empêcher la formation de graines et la repousse. Ensuite, quelque mois plus tard – la récolte du maïs.
La préparation du lit de semence, la fertilisation, l’irrigation et le contrôle des mauvaises herbes (ou même des insectes ou maladies) sont superflues, les vesces ou plutôt sa paille s’en chargent. Cette minimisation de travail est élégante, et en plus,  tolérante à la sécheresse.
(Les semoirs, les méga-machines modernes entaillent le terre avec leurs mini-socs de charrue, les graines y sont déposées, le sol refermé, le tout en un seul passage, sans travail du sol. Quand on fauche les vesces fleurissant ou les presse par terre, elles ne repoussent plus. Comme le sol n’a pas été labouré, les graines des plantes sauvages en dormance dans la terre ne germent pas. En culture dense la vesce supprime les plantes sauvages, son paillage est un engrais optimal et une protection contre l’évaporation).

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La reconquête de la terre: Recherche paysanne et transmission du savoir-faire
Si l’informatique avait progressé au même rythme que l’agriculture, nous serions encore en train de calculer avec nos doigts, les ordinateurs ont été conçus dans des garages.
Pourquoi les agronomes n’ont-ils jamais transmis les méthodes les plus rentables ? Parce que la recherche agricole ne veut pas interférer dans les intérêts d’une industrie agricole inutile, mais puissante ?
Les méthodes les plus efficaces doivent enfin être connues et utilisées: La transmission du savoir-faire est ainsi ouverte sur ce site science-thriller.org.
Pour une recherche et un progrès agricoles efficaces, il ne faut pas grand chose : Des experts avérés, c’est-à-dire des paysans expérimentés, et un peu de coordination et de transfert des résultats des essaies, et une approche de recherche ingénieuse : La vesce hirsute est une excellente nourrice et culture précédente pour le maïs – cette astuce pourrait également fonctionner pour d’autres cultures: Tournesol, orge de printemps, peut-être même avoine ou pommes de terre ?
« Pour pouvoir juger, il faut essayer » : En automne, les agriculteurs intéressés plantent de la vesce hirsute sur un petit champ d’essai, et au printemps ils y sèment les charges restantes de maïs, et d’autres cultures d’été avec le semoir, la vesce doit ensuite être fauchée.
Et ce qui pousse bien, est un progrès agricole! Qui peut être vérifié sur des champs plus grands.
La coordination de la recherche et le transfert des connaissances peuvent être effectués rapidement et efficacement via ce site Web: Des déjeuners fermiers, suivis d’un échange d’idées et des visites des champs d’essai. Et une publication multilingue afin que les réussites soient mises à la disposition de tous les agriculteurs gratuitement et rapidement, et qu’elles répondent également à toutes les exigences agricoles et scientifiques.

L’industrie agricole fait penser à un char géant roulant dans les rues. S’il avait le moindre intérêt pour ce qui se passe, il remarquerait qu’il progresserait beaucoup plus vite sur la voie de droite.
Au lieu de cela, l’industrie se concentre a développer des machines de plus en plus énormes afin d’aplatir de plus en plus efficacement tout trafic venant en sens inverse.

Tutoriel 4: Fongicides: Les preuves manquantes ou falsifiées

Nos cultures grandissent dans une sauce de pesticides maximales  qu’elles sont tout juste encore capable de supporter.
Mais trop souvent pas les consommateurs?
De plus en plus, même les cultures ne les supportent plus

Le conte de fées des variétés à haut rendement trop sensibles

« Nous avons besoin de pesticides parce que les variétés modernes produisent des rendements élevés mais elles sont bien plus sensibles que les variétés anciennes et rustiques de nos ancêtres ? »
Nos cultures arables sont (presque toujours) des géants très robustes.
Avec de bonnes pratiques agricoles, les dégâts sont minimes, les insecticides et les fongicides sont inutiles, et les herbicides peuvent être remplacés par des tracteurs et des outils. 
Les pesticides sont des produits superflu mais extrêmement lucratif d’un détournement dévastateur.

Le malade imaginaire

Le blé est généralement traité de manière préventive avec des fongicides Azol qui sont soupçonnés de provoquer le cancer.
Même s’il n’y a qu’un seul type de blé qui moisit: Le blé du semis direct  au glyphosate.
Il ne toléré pas les quantités record de glyphosate ? Seulement s’il est cultivé après le maïs, et si, pour aggraver les choses, il s’agit d’une des tres rares variétés sensibles à la moisissure.
Alors pourquoi des applications préventives de fongicides ? La recherche agricole gouvernementale les légitime par une seule citation erronée :  » Les années d’épidémie, des pertes de rendement de 20 à 30% peuvent survenir » (1). Et l’ « oubli » du titre de cette publication: « Seules les variétés résistantes aident contre les fusarioses auriculaires ». Grâce à cette expertise ancienne, le croisement avec une variété de blé résistante fit disparaitre les variétés sensibles de l’époque et leurs moisissures.

« Avant de semer, faites bien mariner les graines dans une sauce de moisissure »

Ce ne sont pas les paysans qui auraient de tels idées.
Mais bien la recherche agricole gouvernementale : Dans presque toutes leurs expérimentations de fongicides, les semences sont « oculées », c’est-à-dire infectées artificiellement.

Image: Lutte contre le fusarium avec des fongicides

Les forêts des colonnes statistiques peuvent être intimidantes pour les non initiés ä la statistique.
Mais ils révèlent aussi des scoops embarrassants : Le blé non infecté n’a pas moisi et a eu le meilleur rendement. Mieux que le blé infecté et traité avec le meilleur fongicide. Il s’agit d’un Azole, dont le plus vendu vient d’être interdit par l’UE car il est soupçonné d’être cancérigène. Les fongicides moins dangereux, les strobulines et autres ne présentent aucun effet protecteur contre les moisissures.
Est-ce la preuve de l’effet protecteur du fongicide Azole? Seulement si le paysans trempaient les graines de blé dans une sauce de moisissure avant de semer.
Bien entendu, la science interdit le transfert de résultats de pesticides provenant de plantes artificiellement infectées sur des plantes non infectées. Parce sans une telle infestation l’effet protecteur des fongicides est trop faible pour une preuve scientifique (statistiquement significative).
L’effet des fongicides Azole sur les céréales non infectées artificiellement n’a pratiquement jamais été mesuré. Ce qui n’étonne pas : La littérature scientifique avertit que les fongicides peuvent provoquer des moisissures. (Et les herbicides arrêtent la croissance du maïs pendant environ un mois).
Les expériences fongicides non oculées de la recherche agricole sont limitées à des endroits extrêmes (humides-froids-montagnards) en dehors des zones agricole, l’infestation par la moisissure des neiges (non toxique) suggèrent des visions d’horreur à la hollywood.
L’industrie propage l’utilisation de jusqu’à quatre fongicides dans le blé par an. Ils suggèrent des augmentations «pertinentes» du rendement, mais ils évitent le mot «significatif», c’est-à-dire scientifiquement prouvé.

Conflit d’intérêts – le persiflage de la science

Les succès prétendument scientifiquement des fongicides dans la recherche de l’OFAG reposent sur des conclusions inadmissibles. La prétention d’un succès sur la base de manipulations et d’interprétations méthodologiques erronés est non seulement scientifiquement interdite, mais aussi juridiquement.
Les preuves d’efficacité des pesticides dans les documents de licence sont secrètes. Seuls les résumés peuvent être consultés, ce qui évite que les erreurs de méthodologie puissent être reconnues. (2)
Quiconque prétend la nécessité d’un taux de poisons probablement cancerogene excessif dans les aliments incite délibérément à ce que une personne sur deux sera atteinte d’un cancer.
Ces stratégies nocives savamment orchestrées sont-elles le modus operandi normal des administrations ? Non. Mais ils apparaissent de plus en plus comme une condition indispensable pour faire carrière dans les hautes sphères de l’administration.

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La pire pratique professionnelle possible

Les ministères de l’agriculture légitiment l’alarmisme de leur pire practice théorique possible par des recommandations de cultivation correspondantes.

Question quiz: Pourquoi le blé, est-il cultivé après le maïs, extrêmement robuste, avec sa réputation d’épuiser le sol? Pourquoi notre aliment de base, le blé, a-t-il perdu sa position optimale et millénaire au commencement de la rotation? (Une rotation des cultures commence avec une prairie, car cette forme d’agriculture hautement naturelle remédie tous les déséquilibres et dégâts).
Les subventions sont conçues de telle manière que les agriculteurs gagnent plus avec le maïs fourrager avant le blé que l’inverse? Le statut du consommateur est désormais derrière le bétail ?!
Grâce à des subventions « écologiques », les ministères de l’agriculture encouragent une combinaison optimisant l’accumulation de pesticides cancérigènes dans notre blé: Le semis direct au glyphosate avec ses quantités maximales de pesticides et le blé après le maïs. Et comme cela peut entraîner des moisissures dans les variétés de blé trop sensibles…, tout le blé conventionnel est traité avec des fongicides cancérigènes.
En revanche, la rotation des cultures la plus rentable a été… interdite : Le blé double, le blé semé dans le paillis du blé précédent. Dans ce cas tout travail du sol est superflue, une solution gagnante gagnante économique et écologique.
Au lieu d’éviter les problèmes de manière préventive grâce aux bonnes pratiques professionnelles, les ministères de l’agriculture favorisent une accumulation de poisons (probablement cancérogènes).
Ce principe s’applique encore plus à la seule culture arable vraiment sensible: Selon les recommandations officielles, les pommes de terre nécessitent au moins 13 traitements de fongicides, en plus des autres pesticides.

Deux poids, deux mesures

Si les preuves scientifiques démontrent qu’un pesticide est dangereux, les ministères de l’agriculture  l’approuvent, voire le subventionnent.
En revanche, ils interdisent des méthodes agricoles très rentables même s’il n’existe aucune preuve scientifique qu’ils soient  problématiques. Et des variétés anciennes, encore moins dangereuse.

La science et les pesticides

Les preuves de l’efficacité des pesticides

  • sont soit erronées (statistiquement non significative ou méthodologiquement incorrecte, de sorte qu’elle ne peut être confirmée scientifiquement)
  • ou manquantes (c’est à dire secretes), pour environ 95% des pesticides. Toutefois, la science n’accepte que les preuves publiées qui répondent à toutes les exigences de la théorie scientifique; des preuves secrètes ou des résumés ne constituant pas des preuves scientifique acceptables.

Pour presque tous les pesticides, la science ne peut pas reconnaître leur efficacité supposée.

Sans doute le plus grand tabou de notre époque.
Pour presque tous les pesticides, il n’y a pas de preuves scientifiques correctes, qui affirment leurs efficacités.

Ceci correspondent à l’absence de nécessité de ces toxins.
Une personne sur deux est ou sera atteinte d’un cancer, ce qui constitue une preuve (statistiquement hautement significative et scientifiquement) incontestable que l’exposition aux pesticides, est beaucoup trop élevée.

C’est ainsi qu’on vend un risque inutile de cancer

Sources:

(1) Schachermayr, G. Fried P.M. (2000): Problemkreis Fusarien und ihre Mykotoxine. Agrarforschung 7 (6), 252-257

(2) EU: (91/414/EWG) Art, 14 , 283/2013 (EG) Nr. 1107/2009 App II, Suisse: PSMV 916.161, 52, 3 g

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Tutoriel 3: Les Herbicides – l’ »eco »-blanchiment des toxines

L’ « éco » de l’état: Le glyphosate

Le printemps arrive, les prairies se couvrent de couleurs printanières, et de plus en plus souvent des couleurs d’automne rouge-rouille-jaunâtre du semis direct au glyphosate.
Les ministères de l’agriculture ont pris au sérieux les craintes et s’engagent désormais pour la protection de la nature : Avec de belles photos, ils présentent la charrue à chevaux abîment le sol, et le tracteur avec le glyphosate, le sauveur des ressources

Dans la plupart des pays industrialisés, des financements affluent vers cette éco-stratégie avec ses labels innovants: Semis direct, no-till, no tillage, travail minimum du sol….
Et leur quantité record de glyphosate qui s’infiltre dans la nappe phréatique.
Cancer au lieu de charrue – la protection de l’environnement grâce à  encore plus de pesticides? Comment les ministères de l’agriculture ont-ils pu promouvoir une telle «écologie» privée de tous sens?

Cancer au lieu de charrue

Le CIRC (la division de la recherche sur le cancer des Nations unies) considère le glyphosate étant «probablement cancérigène».
Les charrues, ainsi que les herbicides, servent à désherber les champs. Mais comment transformer les charrues inoffensives en un tel « danger » qui justifie même une augmentation du risque de cancer?
L’industrie des pesticides avait besoin d’un partenaire fiable pour promouvoir cette stratégie: Le plus idéal était bien sûr la protection du climat, car qui oserait s’opposer à la sauvegarde du future? Même les absurdités peuvent être basées sur une bonne idée, et l’engagement le plus honnête peut être abusé d’une manière surréaliste: Le protocole de Kyoto avait jadis ratifié l’incorporation du CO2 dans la biomasse et les sols.
En 2008, le président de notre industrie de pesticides/OGM Syngenta/ChemChina annonçait qu’ils pourraient séquestrer jusqu’à 80 milliards de tonnes de carbone dans les sols au cours des 25 prochaines années, soit la majeure partie du CO2 excédent.
Le glyphosate au lieu de la charrue sauve le climat, eurêka ! Les autorités acclamèrent le sauveur du ciel et de la terre et le comblèrent de leurs bienfaits financiers.

Mourir pour une poignée de dollars ?

Les promoteurs du semis direct au glyphosate réussirent à dissimuler le bilan climatique réel: En théorie, cette méthode devrait lier 500 kg de carbone par hectare et par an, (la FAO calculait en 2001 encore avec 100 kg, la recherche suisses mesuraient même zéro kg en 2007).
Puisqu’un hectare produit environ 6 tonnes de blé et que les habitants consomment environ 60 kilos de blé par an, un hectare de blé suffit pour une centaine d’Européens.
Nous finançons une accumulation maximale d’un cancérigène dans tout notre pain, pâtes et pizza afin d’économiser environ 5 litres d’essence par personne et par an ?!
Probablement la plus dangereuse de toutes les méthodes de protection du climat imaginables?!
Si ce type de protection du climat avait fonctionné, mais ce n’est pas le cas. L’OFAG le savait bien avant de le promouvoir. Le CCX, le Chicago Climat Exchange, la bourse d’échange de droits d’émission de Chicago ne payait aux agriculteurs du semis direct que cinq dollars par hectare.
Afin de dissimuler cette folie, le semis direct au glyphosate fut déclaré «protection des ressources».

Augmentations exorbitantes des valeurs limite

Le semis direct au glyphosate utilise des quantités record de cet herbicide qui s’infiltre dans nappe phréatique. Les valeurs limites pour les résidus de glyphosate dans les aliments ont été multipliées par cent, pour l’eau une de plusieurs milliers fut prévue.
En même temps, la « siccation » était introduite dans l’UE: Blé et pommes de terre sont empoisonnés au glyphosate, ils meurent, cela permet d’ajuster les dates des récoltes aux agendas des gestionnaires agricoles.
Si l’agriculture est autorisée à empoisonner à mort les cultures agricoles, la question se pose pourquoi on aurait encore besoin de valeurs limites pour les pesticides. Car l’utilisation de plus de pesticides que pour un empoisonnement mortel des cultures ne fait pas des sens.
Une personne sur deux sera atteinte d’un cancer, ce taux de souffrance est désormais augmenté par les financements «écologiques» d’un poison probablement cancerogene. Cela démontre les priorités de notre politique agricole: Elle finance délibérément des souffrances mortelles.

L’arrogance du pouvoir

L’argument de rejet du conseiller fédéral chargé de l’économie (agricole) Schneider-Amman contre notre appel de l’époque: «L’alcool est plus toxique que le glyphosate».

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Le protecteur  de notre santé : L’office vétérinaire

Le responsable de la sureté alimentaire est… l’office fédéral du bétail, c’est à dire l’OSAV, l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires !
Autant pour la valeur de notre santé aux yeux de nos autorités.
L’Office fédéral de la santé n’est pas autorisé à intervenir dans les dangers des toxines alimentaires, bien qu’ils représentent la cause majeure des maladies de civilisations.
Plus la contamination toxique est élevée, plus les contrôles sont rudimentaires: Les mesures de résidus de glyphosate ne font pas partie des contrôle standards de OSAV. En effet, elles sont extrêmement rares pour des raisons financières, le respect des limites est donc très douteux. Le glyphosate est subventionné mais pas contrôlé.
En plus, aucune disposition n’est prévue pour les tests de résidus de pesticide dans la viande. Bien que les poisons s’accumulent au cours de la chaîne alimentaire.

La pointe de l’iceberg

Écologie = des taux toxiques maximales pour les champs, les aliments et les gens? !
Cet éco-blanchiment de cancérogènes est-il un incident isolé? Ou le prototype d’une politique agricole future?
Le revirement écologique de l’agriculture en 1998 promettait une agriculture saine pour les gens, la nature et le climat.
Mais ceci aurait signifié la fin de l’industrie des pesticides/OGM.
Le népotisme de la direction de l’OFAG a su instrumentaliser toutes les exigences et lois idéalistes pour le sauvetage de l’industrie agrochimique: Les subventions pour le semis direct au glyphosate préparent le terrain pour l’introduction des cultures génétiquement modifiés RR au glyphosate dans une Suisse résistante aux OGM: Les machines et les méthodes sont établies, il ne manque plus que l’acceptation des produits génétiquement modifiés.
Ces stratégies innovantes sont des chevaux de Troie, la pointe de l’iceberg: Dans la file d’attente se trouvent des pesticides encore plus toxiques, car la résistance des mauvaises herbes au glyphosate augmente. Les États-Unis ont approuvé une nouvelle génération de OGM « vertes » résistantes à l’herbicide 2,4 D, mieux connu sous sa marque « agent orange ».
Un poison encore plus embryotoxique qui est également suspecté d’être cancérogène.

Les idéalistes auraient déjà construit un paradis sur terre il y a longtemps.

Mais les créateurs de problèmes ont toujours réussi à se confier le rôle de leader dans la lutte contre leurs propres stratégies commerciales lucratives.

Il est temps qu’une CEP, une commission d’enquête parlementaire ou la justice elle-même enquête enfin sur cette utilisation frauduleuse d’éco-subventions pour le glyphosate.

Science et herbicides

La santé et l’écologie sont à la mode ? Ainsi, les ministères de l’agriculture décorent des quantités innovantes et record de glyphosate avec des étiquettes éco-greenwash manifestement fausses, afin de protéger ce pesticide très probablement cancérigène contre les craintes et l’hostilité massives de la société.

«Le sommeil de la raison engendre des monstres» Francisco Goya

Seul le béton résiste à nos charrues
La «protection des ressources» du semis direct au glyphosate transforme les sols en roche dure. Par coïncidence, dans les publications du semis direct les rendements sont presque toujours oubliés…

Des produits agrochimiques qui protègent les ressources ?

L’un des secrets les mieux gardés de la politique agricole: Quand au blé, aliment de base, les États-Unis ne produisent que la moitié des rendements suisses par hectare.
Le semis direct au glyphosate n’a jamais été censé protéger le sol, il devait plutôt atténuer sa dégradation par l’agriculture industrielle, mais en effet il ne l’a qu’empiré.
Une seule méthode agricole est capable de transformer le CO2 en humus au lieu de le décomposer: Le bio.

Tutoriel 2: Les insecticides de la pire pratique professionnel

En Chine, les ouvriers pollinisent les arbres fruitiers à la main.
En Californie, les monocultures d’amandiers ont besoin d’apiculteurs mobiles.
Et demain? Des abeilles robotisées autonomes?
Car du bio ou une interdiction des insecticides, c’est bien trop cher?

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L’agonie du choix: Mourir pour le blé

Les catalogues des pesticides, en couleurs arc-en-ciel subtiles, offrent sur des dizaines de pages un choix interminables de pesticides, y compris les insecticides pour le blé.
Question quiz : Pourquoi le blé a-t-il besoin d’insecticides? Qui a déjà vu des insectes dévorant les champs de blé en Europe?
En fait, les pucerons peuvent infester le blé en cas de sur-fertilisation massive. Mais les agriculteurs qui mettent autant de fertilisant risquent de perdre leur approbation IP, y compris les paiements directs / subventions.
Le maïs est également très rarement infesté, uniquement dans les monocultures de maïs qui sont également interdites, précisément parce qu’elles sont trop susceptibles.

Les pesticides – ou bien une bonne pratique professionnelle

C’est toujours une nature malveillante qui est responsable des problèmes de l’agriculture !?
Avec de bonnes pratiques agricoles, les cultures arables ne sont guère endommagées par les insectes.
Mais il y a des insectes qui mangent des fleurs du colza ! Dans ce cas-là, les colzas refleurissent.
En fait, il n’y pas de lien (statistique) entre l’infestation des champs et leurs rendements.
Même un rendement record peut avoir subi une attaque sévère de ravageurs, alors que nombreuses récoltes mauvaises n’ont jamais été infestés, le choix de variété et le nutriment sont plus décisifs.
C’est pourquoi les brochures industrielles n’évoquent que les effets des insecticides sur les insectes, mais pas sur les rendements.

Les invasions imaginaires

Dans les champs les insecticides combattent des pertes qui seraient évitées par le respect des conditions pour les paiements directs.
Nous sacrifions les abeilles pour empêcher les insectes d’endommager nos champs ? La destruction de la nourriture par les insectes n’est pas mesurée en termes réels, mais estimée, généralement sur la base de projections intercontinentales.
Il est insensé d’investir dans la lutte contre des dégâts sans connaître l’étendue réelle du danger. Dans le sud de l’Europe, les pompiers sont bien équipés pour faire face aux incendies de forêt, mais dans les régions humides, il n’y en a pas.
Les dommages collatéraux ne devraient pas être pires que les dommages qu’ils sont censés prévenir.

Une nature ennemie ?

Ceux qui craignent la nature n’ont pas la main verte. Mais des problèmes.
En agriculture biologique, les pommes de terre sont la seule culture arable qui subit des pertes réelles, bien que modestes. Les pommes de terre sont sensibles aux maladies pendant l’automne froid et humide, car dans leur pays d’origine, les Andes, il pleut plutôt en été.
Ces « impôts » de la nature sont bien inférieurs à celles de l’État.
Ce cas exceptionnel, ainsi que les dégâts causés aux vignobles et aux vergers, servent à évoquer l’image d’une nature hostile et dangereuse. Si nécessaire, les lobbyistes évoquent les fléaux dévastateurs des criquets, même s’ils ne viendront que si nous insistons sur le réchauffement climatique.

L’autocontrôle des toxines

Il y a environ 20 ans, lorsque le bio, l’écologie et la santé sont devenus trendy, les politiciens européens ordonnèrent  une reforme éco-agricole: Les pesticides ne peuvent être utilisés que si les pertes financières dues aux ravageurs sont plus élevées que les coûts des pesticides.
Les agriculteurs sont exclus des paiements directs/subventions s’ils ne respectent pas les seuils de tolérance.
Dans la circulation routière, le respect des limites de vitesse est contrôlé, quand aux poisons dans la production alimentaire, nos autorités font confiance à l‘autorégulation.
Même si une personne sur deux tombe malade d’un cancer.

Le sabotage de l’écologie par l’office fédéral de l’agriculture

Ne pas aider les personnes en danger est une infraction punissable dans la circulation routière. Les mettre délibérément en danger l’est encore plus.
Depuis la reforme éco-agricole les pesticides et les maladies de civilisation n’ont cessé d’augmenter.
Car les ministères de l’agriculture sabotent systématiquement leurs propres réglementations des seuils de tolérance: Les Neonicotinoide à utiliser de manière préventive sauvent quelques gorgées du lait si sain et si bon marché dans les monocultures interdites du maïs fourrager.
Et pour cela ils sacrifient les abeilles.
Depuis que les protestations ont réussi à l’interdire, ils sauvent les chips si saines et si bon marché avec des Neonicotinoide pour le colza et les pommes de terre. Prière de pulvériser le colza avant la floraison pour éviter que les plantes déjouent leurs ravageurs gratuitement.
Et voici maintenant une génération innovante d’insecticides encore plus toxiques, qui sont autorisés à tuer les abeilles jusqu’à ce qu’il soit prouvé scientifiquement dans quelques années que les dégâts sont énormes, les bénéfices minimes, etc. etc.

Les abeilles meurent à cause de l’excès toxique d’une mauvaise pratique professionnelle et politique.
Nos ministères de l’agriculture sauvent l’industrie de pesticides menacés par les exigences idéalistes et écologiques.
Et pour cela ils sacrifient les abeilles.
Et la population

Un des catalogues si sympa et séduisant pour la vente de… la mort des abeilles.
Et des empoisonnements mortels dans toutes les familles.
Impossible!? Avec les herbicides, les fongicides, la production de vin, fruits, légumes, bétail et les autres poisons qui sont tout aussi essentiels pour notre survie?

Science et insecticides

Nos ministères de l’agriculture prétendent que les pertes de récoltes seraient massives sans les solutions toxiques.
Mais ils ne mesurent pas les pertes réelles. Et ils ne disposent non plus de mesures scientifiques permettant de déterminer si les pesticides sont efficaces.
Parce que sans mesures scientifiques, on ne peut pas se plaindre que l’application des pesticides est trop souvent, ou presque toujours, insensée.

Tutoriel 2: Les insecticides de la pire pratique professionnel

Les insecticides tueurs d’abeilles

En Chine, les ouvriers pollinisent les arbres fruitiers à la main.
En Californie, les monocultures d’amandiers ont besoin d’apiculteurs mobiles.
Et demain? Des abeilles robotisées autonomes?
Car du bio ou une interdiction des insecticides, c’est bien trop cher?

L’agonie du choix: Mourir pour le blé

Les catalogues des pesticides, en couleurs arc-en-ciel subtiles, offrent sur des dizaines de pages un choix interminables de pesticides, y compris les insecticides pour le blé.
Question quiz : Pourquoi le blé a-t-il besoin d’insecticides? Qui a déjà vu des insectes dévorant les champs de blé en Europe?
En fait, les pucerons peuvent infester le blé en cas de sur-fertilisation massive. Mais les agriculteurs qui mettent autant de fertilisant risquent de perdre leur approbation IP, y compris les paiements directs / subventions.
Le maïs est également très rarement infesté, uniquement dans les monocultures de maïs qui sont également interdites, précisément parce qu’elles sont trop susceptibles.

Les pesticides – ou bien une bonne pratique professionnelle

C’est toujours une nature malveillante qui est responsable des problèmes de l’agriculture !?
Avec de bonnes pratiques agricoles, les cultures arables ne sont guère endommagées par les insectes.
Mais il y a des insectes qui mangent des fleurs du colza ! Dans ce cas-là, les colzas refleurissent.
En fait, il n’y pas de lien (statistique) entre l’infestation des champs et leurs rendements.
Même un rendement record peut avoir subi une attaque sévère de ravageurs, alors que nombreuses récoltes mauvaises n’ont jamais été infestés, le choix de variété et le nutriment sont plus décisifs.
C’est pourquoi les brochures industrielles n’évoquent que les effets des insecticides sur les insectes, mais pas sur les rendements.

Les invasions imaginaires

Dans les champs les insecticides combattent des pertes qui seraient évitées par le respect des conditions pour les paiements directs.
Nous sacrifions les abeilles pour empêcher les insectes d’endommager nos champs ? La destruction de la nourriture par les insectes n’est pas mesurée en termes réels, mais estimée, généralement sur la base de projections intercontinentales.
Il est insensé d’investir dans la lutte contre des dégâts sans connaître l’étendue réelle du danger. Dans le sud de l’Europe, les pompiers sont bien équipés pour faire face aux incendies de forêt, mais dans les régions humides, il n’y en a pas.
Les dommages collatéraux ne devraient pas être pires que les dommages qu’ils sont censés prévenir.

Une nature ennemie ?

Ceux qui craignent la nature n’ont pas la main verte. Mais des problèmes.
En agriculture biologique, les pommes de terre sont la seule culture arable qui subit des pertes réelles, bien que modestes. Les pommes de terre sont sensibles aux maladies pendant l’automne froid et humide, car dans leur pays d’origine, les Andes, il pleut plutôt en été.
Ces « impôts » de la nature sont bien inférieurs à celles de l’État.
Ce cas exceptionnel, ainsi que les dégâts causés aux vignobles et aux vergers, servent à évoquer l’image d’une nature hostile et dangereuse. Si nécessaire, les lobbyistes évoquent les fléaux dévastateurs des criquets, même s’ils ne viendront que si nous insistons sur le réchauffement climatique.

L’autocontrôle des toxines

Il y a environ 20 ans, lorsque le bio, l’écologie et la santé sont devenus trendy, les politiciens européens ordonnèrent  une reforme éco-agricole: Les pesticides ne peuvent être utilisés que si les pertes financières dues aux ravageurs sont plus élevées que les coûts des pesticides.
Les agriculteurs sont exclus des paiements directs/subventions s’ils ne respectent pas les seuils de tolérance.
Dans la circulation routière, le respect des limites de vitesse est contrôlé, quand aux poisons dans la production alimentaire, nos autorités font confiance à l‘autorégulation.
Même si une personne sur deux tombe malade d’un cancer.

Le sabotage de l’écologie par l’office fédéral de l’agriculture

Ne pas aider les personnes en danger est une infraction punissable dans la circulation routière. Les mettre délibérément en danger l’est encore plus.
Depuis la reforme éco-agricole les pesticides et les maladies de civilisation n’ont cessé d’augmenter.
Car les ministères de l’agriculture sabotent systématiquement leurs propres réglementations des seuils de tolérance: Les Neonicotinoide à utiliser de manière préventive sauvent quelques gorgées du lait si sain et si bon marché dans les monocultures interdites du maïs fourrager.
Et pour cela ils sacrifient les abeilles.
Depuis que les protestations ont réussi à l’interdire, ils sauvent les chips si saines et si bon marché avec des Neonicotinoide pour le colza et les pommes de terre. Prière de pulvériser le colza avant la floraison pour éviter que les plantes déjouent leurs ravageurs gratuitement.
Et voici maintenant une génération innovante d’insecticides encore plus toxiques, qui sont autorisés à tuer les abeilles jusqu’à ce qu’il soit prouvé scientifiquement dans quelques années que les dégâts sont énormes, les bénéfices minimes, etc. etc.

Les abeilles meurent à cause de l’excès toxique d’une mauvaise pratique professionnelle et politique.
Nos ministères de l’agriculture sauvent l’industrie de pesticides menacés par les exigences idéalistes et écologiques.
Et pour cela ils sacrifient les abeilles.
Et la population

Un des catalogues si sympa et séduisant pour la vente de… la mort des abeilles.
Et des empoisonnements mortels dans toutes les familles.
Impossible!? Avec les herbicides, les fongicides, la production de vin, fruits, légumes, bétail et les autres poisons qui sont tout aussi essentiels pour notre survie?

Science et insecticides

Nos ministères de l’agriculture prétendent que les pertes de récoltes seraient massives sans les solutions toxiques.
Mais ils ne mesurent pas les pertes réelles. Et ils ne disposent non plus de mesures scientifiques permettant de déterminer si les pesticides sont efficaces.
Parce que sans mesures scientifiques, on ne peut pas se plaindre que l’application des pesticides est trop souvent, ou presque toujours, insensée.

Tutoriel 1 : Les pesticides – la vache sacrée de l’agriculture

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L’art de la magie consiste à détourner l’attention.
Et du lobbying d’occulter les questions cruciales.
Pour résoudre un problème il faut trouver la bonne question:
Les pesticides, ils servent à quoi ?
Une vie sans pesticides semble impensable, et remettre en question leur utilité est presque un sacrilège.


« Nous avons besoin de pesticides parce que tant de gens meurent de faim. »

La moitié des céréales mondiales n’est pas consommée par des humains.
La politique agro-économique arrange un gaspillage systématique de nourriture : Depuis des décennies les pays industrialisés se plaignent de la pression sur les prix par la surproduction, ainsi ils subventionnent la destruction de nourriture par le bétail et la mobilité.
Alors que des millions de personnes meurent de faim.
Pourquoi avons-nous besoin de pesticides toxiques pour des récoltes record alors que la politique détruit plusieurs fois plus de nourriture que tous les insectes, champignons et fleurs réunis ?
Dans le même temps, les pays industrialisés comme la Suisse importent jusqu’à la moitié de leur consommation, souvent même de pays où règne une pauvreté extrême. (Non seulement notre riz, aliment de base, est importé, une grande partie du blé provient également de l’Inde).
Les gens ne meurent pas de faim parce qu’il n’y a pas assez de nourriture, mais parce qu’ils n’ont pas assez d’argent.
La faim n’est pas un problème agricole, mais un problème politique. Et morale

La prise de contrôle de l’agriculture par l`industrie chimique

Pour produire de la nourriture il faut de la terre, de la pluie, des semences, des engrais, des machines, des paysans et du savoir-faire. Rien de plus.
L‘engagement soi disant humanitaire de l’industrie chimique insistant sur son droit à l’irresponsabilité lui permet de saisir le monopole de la gestion technique sur l’agriculture. Et d’enrichir les champs, l’alimentation et la population avec ses poisons, une fidélisation de la clientèle et une promotion lucrative des ventes des départements pharmaceutiques.
En rachetant toutes les entreprises de semences, abolissant le privilège de l’agriculteur, interdisant les variétéstraditionnels et surtout avec le land-grabbing, l’industrie agro-chimique tente de créer un monopole alimentaire.
La politique agro-économique confie le combat contre la famine à des gestionnaires qui gagnent plus en une heure que les plus pauvres ne gagnent en une vie entière. Et qui promettent de résoudre tous ces problèmes que nous n’aurions pas sans eux.
Des carburants agricoles pour des SUV obese?
Des voitures et des steaks un peu plus petits et des enfants en bonne santé et bien nourris seraient mieux pour presque tout le monde.
Sauf pour les industries et les investisseurs irresponsables et sans scrupules.

*Privilège de l’agriculteur : Les agriculteurs étaient autrefois autorisés à ressemer leurs semences.

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email: science-thriller@bluewin.ch

Tutoriel 5: L’assurance anti-nuisibles

Une interdiction des pesticides nuit aux agriculteurs ?
Les pesticides nuisent à la population.
Quand deux se disputent, la troisième se réjoui.

Une assurance contre les nuisibles
 « Les agriculteurs ont besoin des pesticides pour assurer leurs récoltes et leurs revenus ».
Mais pourquoi devraient-ils assurer leur revenu avec des toxines nocives pour leur santé?
Les revenus des agriculteurs pourraient être garantis par une assurance contre les parasites: Les pertes dues aux papillons, moisissures et autres parasites naturels seraient remboursées par l’État, tout comme les dommages causés par les lynx, les loups, les ours et le gel tardive..
Mais une telle assurance serait trop coûteuse? Ce serait le moyen le moins cher, le plus simple et le plus efficace de réduire les maladies de la civilisation. Les aliments contaminés par des pesticides sont la méthode la plus stupide d’économiser, les thérapies contre le cancer sont très chères et les chances de guérison minces.

Le tabou de l’agriculture : A quoi sert l’industrie des pesticides ?
Que sait-elle faire que les paysans ne peuvent pas faire?
Pour produire de la nourriture, il faut des terres, de la pluie, des semences, d’engrais (verts), des machines, des Paysans et leur savoir-faire. Rien de plus.
 « Et des pesticides pour protéger les champs? » Les pesticides ne résolvent pas les problèmes, ils ne font que les aggraver.
Avec la meilleure pratique professionnelle, il n’y a guère de vrais problèmes. L‘investissements le plus rentable est toujours le savoir-faire.
Le seul véritable manque dans l’agriculture est le manque d’appréciation des vrais experts en la matière : Avec ses projections d‘une nature malfaisante et de paysans incompétents, l’industrie chimique a réussi à nier aux seuls producteurs nécessaires toute compétence professionnelle et même le droit à l’existence.

Une assurance contre les nuisibles au lieu de pesticides, c’est comme des bosses de vitesse au lieu de pièges radar: Intelligent au lieu de techno-overdrive.

Les hyper-parasites
Les agriculteurs n’ont pas besoin de pesticides. Ils ont besoin d’un revenu sûr et équitable. L’assurance antiparasitaire est une solution gagnante-gagnante pour tous: Les agriculteurs, les consommateurs et l’environnement.
Sauf pour les industries chimiques. Mais les dégâts qu’ils causent sont infiniment pires que les modestes pertes de rendement causées par les coléoptères, les papillons et les champignons.
Le seul véritable problème de l’agriculture est le leadership technique intouchable de la chimie du poison sur la production alimentaire.
Nous ne pouvons pas nous permettre les agriculteurs, mais bien une industrie superflue des pesticides ? Ceci n’est pas une contrainte mais plutôt une stratégie de népotisme.
La politique agricole confie le leadership (technique) du secteur agricole à l’industrie des toxins, et ordonne une élimination des petits paysans. Car nous ne pouvons pas nous permettre d’offrir des salaires équitables aux agriculteurs, et encore moins une alimentation saine. Mais uniquement une industrie des pesticides gigantesque et superflue, les primes et profits astronomiques de ses dirigeants et des investisseurs de la ChemChina, et les coûts énormes des maladies de la civilisation.
L’industrie des pesticides est un parasite superflu, avec les propriétés typiques des parasites: Ils sont incapables de se nourrir par eux-mêmes, ils doivent usurper le travail des autres.

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Mieux payer les dégâts des ours, loups et papillons, que ceux de l’industrie du poison.

Ceux qui craignent la nature n’ont pas la main verte. Mais des problèmes.

Qui a peur des chevaux, ne gagnera jamais une course.

Une assurance contre les nuisibles ? Comment détecter une infestation de nuisibles correctement et à peu de frais?
Avec un concours : La meilleure app antiparasitaires ? (Image complète de l’infestation centrale et image agrandie)puis cinq photos supplémentaires, chacune à cinq mètres de distance, en ligne droite à travers le champ, toutes les photos avec GPS automatique et dates.
Veuillez envoyer vos suggestions à l’OFAG. Vu qu’il rejettera une solution aussi efficace et rapide au problème…..des sites ou groupes volontaires pourrait choisir le gagnant du concours afin d’essayer d’aider l’OFAG gratuitement, rapidement et efficacement à protéger la population